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Conférence de presse de l’Oberservatoire de l’Environnement Naturel du 9 septembre 2020

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Oberservatoire de l’Environnement Naturel 

Malgré les nombreuses mesures positives prises en matière de conservation de la nature, la situation des habitats naturels des espèces animales et végétales au Luxembourg continue de se dégrader rapidement.

« L’état actuel de conservation des habitats naturels et des espèces végétales et animales sauvages est très préoccupant. Si nous ne prenons pas de contre-mesures le plus rapidement possible, de nombreuses espèces animales et végétales disparaîtront également au Luxembourg dans les années à venir ».
Tel est le verdict de l’Observatoire de l’Environnement Naturel lors du dernier rapport national sur l’état de conservation des habitats et des espèces. Les directives européennes « Habitats » et « Oiseaux » exigent que ce rapport (« Reporting ») soit établi tous les six ans sur une base scientifique. Les résultats 2013-2018 ont été présentés à la presse par l’Observatoire de l’Environnement Naturel le 9 septembre 2020.

État de la nature au Luxembourg

La situation au Luxembourg est alarmante : deux tiers des habitats naturels sont dans un état de conservation « insuffisant » ou « mauvais ». Seul un tiers peut encore être considéré comme ayant un état de conservation « favorable ». En particulier, de nombreux habitats de pleine campagne (par exemple les prairies de plaine), mais aussi les zones humides sont de plus en plus rares en bon état. La situation est encore plus dramatique pour les espèces de faune et de flore sauvages : 80 % d’entre elles se trouvent dans un état de conservation précaire. Ce sont précisément les espèces qui vivent dans des habitats de plein air ou des zones humides qui sont les plus menacées : les chauves-souris, les papillons, de nombreux amphibiens et toutes les espèces qui dépendent d’une eau propre, comme la moule de rivière.

Des demandes claires pour arrêter le développement

Dans ce contexte, l’Observatoire de l’Environnement Naturel demande un changement fondamental dans notre façon de travailler, il faut collaborer avec la nature. L’agriculture intensive, avec ses apports élevés en engrais et en pesticides et le nombre élevé de têtes de bétail, est ici la principale responsabilité.

Vous trouverez plus d’informations sur l’état de la nature au Luxembourg dans les annexes à télécharger et ici.